La sécurité cherche à garantir l’absence de dommages inacceptables.
La capacité des organisations à faire sens de leur environnement, à détecter de nouvelles menaces, à adopter de nouvelles dispositions techniques, humaines et organisationnelles, sont des facteurs contribuant à la maîtrise des risques.
Pourquoi ce sujet ?
Dans la réalité du monde industriel, avec un contexte incertain et évolutif, il est indispensable de mieux comprendre comment les entreprises et organismes gérant des activités potentiellement dangereuses peuvent rester sûrs, voire devenir plus sûrs.
Comment peuvent-ils diagnostiquer leurs capacités de résistance aux changements involontaires, aux défaillances techniques, humaines ou organisationnelles ? De plus, comment peuvent-ils renforcer ces capacités par des bonnes pratiques afin d’assurer la préservation d’un haut niveau de sécurité ?
Les résultats : trois référentiels sur le FOH
Les facteurs organisationnels et humains
de la sécurité industrielle
L’appel à propositions
L'appel à propositions scientifiques sur ce thème a été lancé en 2006.
Les projets de recherche retenus
- Rédaction et mise à l’épreuve d’un référentiel facteurs humains et organisationnels de la sécurité
Équipe de François Daniellou (Université de Bordeaux, France) - Vers une « opérationnalisation » des notions et des méthodes se référant à la résilience des organisations
Équipe de Yves Dien (EDF R&D, France) - Validation d’une méthode d’évaluation technique, humaine et organisationnelle de la sécurité (Athos)
Équipe de Jean-Christophe Le Coze (Ineris, France) - Quantitative techniques for the vulnerability analysis of critical network systems and infrastructures
Équipe de Enrico Zio (Politecnico di Milano, Italie) - Le partage social du risque comme impératif de gestion ? Le cas de l’industrie à risques aux portes de Marseille
Équipe de Jean-Michel Fourniau (CESSA, Marseille, France)
